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Environnement

Préservation de nos arbres

Les arbres sont précieux, particulièrement au moment où notre planète vient de vivre l’été le plus chaud jamais observé. Ils sont, de loin, les meilleurs climatiseurs que la nature ait inventés.

Au-delà de la valeur patrimoniale et historique qu’ils constituent, les bienfaits des arbres sont très nombreux. Ils captent le carbone et produisent de l’oxygène. Un grand arbre peut fournir une journée d’oxygène pour quatre personnes. Et l’arbre est un grand facteur de bien-être, il réduit le stress, apaise et influe positivement sur le moral. Enfin, les arbres fournissent un abri à une importante biodiversité.

Il faut aussi savoir que les propriétés boisées ont généralement une plus grande valeur immobilière. En ville, un appartement avec vue sur parc sera bien plus coté qu’un appartement avec vue sur façade par exemple. 

L’article 5 de la déclaration des droits de l’arbre, proclamée le 5 avril 2019 à l’Assemblée nationale, dit ceci : 

L’arbre est un organisme vivant dont la longévité moyenne dépasse de loin celle de l’être humain. Il doit être respecté tout au long de sa vie, avec le droit de se développer et se reproduire librement, de sa naissance à sa mort naturelle, qu’il soit arbre des villes ou des campagnes. L’arbre doit être considéré comme sujet de droit, y compris face aux règles qui régissent la propriété humaine. 

Alors, plantons des arbres dans nos jardins et, surtout, ne les massacrons pas ! Il faut tout d’abord éliminer l’idée selon laquelle « ils ont besoin d’être élagués pour aller bien ». Cette tenace idée reçue est particulièrement néfaste pour les arbres. En effet, ce préjugé donne lieu à bon nombre d’élagages qui, en réalité, sont inutiles et pourraient être évités.  

Les cas qui mènent souvent à l’élagage ou l’abattage des arbres sont le fait de conflits de voisinage qui se basent sur les prescriptions du code civil bien souvent défavorables aux arbres. Cependant, le code civil donne aussi des éléments de protection tels que la prescription trentenaire. Suivant cette règle, un arbre de plus de trente ans bénéficie d’une protection et ne peut plus être mis en abattage même s’il ne respecte pas les distances règlementaires de retrait de 2 mètres vis-à-vis des limites de propriétés. 

Avant toute intervention sur les arbres, il faut réfléchir à sa pertinence et se poser plusieurs questions : 

Ces interrogations peuvent être posées auprès de professionnels, experts de l’arbre ou élagueurs, mais il ne faut jamais oublier que certains élagueurs ne sont pas toujours impartiaux dans leurs avis et pourraient parfois faire en sorte de vendre une prestation (problématique d’être juge et partie). 

Une des interventions à proscrire et interdite dans certaines communes, l’étêtage ou également la réduction sévère globale de l’arbre. Il est plus juste d’employer la taille dite « douce » où l’élagueur fera un véritable travail d’accompagnement de l’arbre et adaptera son intervention. À titre de vulgarisation, lorsque nous allons chez le coiffeur, ce dernier nous coiffe selon nos exigences et son savoir-faire, il ne réduit pas son métier à systématiquement raser des têtes ! Il en est de même pour les élagueurs ; un bon élagage ne se réduit pas uniquement à une coupe brutale et systématique des branches, mais à une véritable appréhension de l’arbre et de ses besoins. 

En effet, l’élagage excessif d’un arbre est toujours très traumatisant et peut même aboutir à sa mort après quelques années. En outre, les élagages drastiques nécessitent d’être refaits à intervalles réguliers car la repousse est souvent très rapide et anarchique. Certains élagueurs indélicats ont tendance à pousser leur client à pratiquer ce genre de taille qui devient ensuite une rente pour eux, ainsi que des dépenses régulières pour les propriétaires.

Souvent, si on est embêté par les branches d’un arbre dans son jardin, il suffit d’en tailler les plus basses. Ainsi le houppier continuera à se développer lentement, sans dommage, tout en gardant de l’air à son pied et en donnant une ombre plus lointaine et diffuse.

L’important est de planter le bon arbre au bon endroit. Leur taille variant selon l’espèce, un chêne n’occupera pas le même volume qu’un cerisier à fleurs, ils ne seront donc pas disposés de la même manière. Le premier sera dans un espace dégagé, en fond de jardin par exemple, là où le second pourra être plus proche de la maison. 

Sur ce point, voici les questions à se poser suivant la méthode « VECUS » :

De plus, il faut toujours veiller à ne pas planter sous les réseaux aériens et sur les réseaux souterrains.

Respecter ces règles de base dès la plantation d’un arbre, c’est se prémunir contre de possibles conflits, désagréments ou interventions délétères. 

La gestion des déchets

Gestionnaire

Communauté d’agglomération Cap Atlantique – Service Déchets
Rue de la Grée du Rocher – 44410 Herbignac
Tél. 02 51 76 96 16

Élu référent Environnement et Cadre de Vie : Marc Bréhat, adjoint en charge du Cadre de vie
Agent référent en mairie : Mickaël NOURRY, directeur des services techniques

Tout savoir sur la collecte des déchets
Consultez les nombreux guides de Cap Atlantique édités à propos du tri des déchets, du compostage, etc.


Les ordures ménagères et le tri sélectif en porte-à-porte

Pour vos encombrants (gravats, végétaux, ferraille, cartons, produits toxiques, déchets d’équipements électriques et électroniques, etc.), ayez le réflexe de la déchetterie !

Consultez la page dédiée aux consignes de tri des déchets du site de Cap Atlantique.

Rapports annuels sur le prix et la qualité du service public de prévention et de gestion des déchets ménagers et assimilés disponibles sur le site de Cap-Atlantique

Les ordures ménagères et le tri sélectif en points d’apport volontaire

Tout dépôt au pied des conteneurs et sur la voie publique est formellement interdit (articles R632-1 et R635-8 du Code pénal).

Consultez la carte interactive des points d’apport volontaire disponibles sur le territoire de Cap Atlantique.

Les déchetteries

La déchetterie la plus proche de la commune de Saint-Molf est celle de Piriac-sur-Mer
Route de l’Arche Chaussin – 44420 Piriac-sur-Mer
Tél. 02 40 23 60 09
du lundi au samedi, de 9h à 12h et de 14h à 18h

Plus d’informations sur les déchetteries du territoire de Cap Atlantique (horaires, tarifs pour les professionnels, conseils et astuces, liens complémentaires) en cliquant sur ce lien.

Encombrants

Les déchets d’auto-soins

Les Déchets d’activités de soins à risques infectieux (DASRI), tels que des objets piquants, coupants et tranchants, doivent être récoltés dans des boîtes jaunes spécifiques mises à disposition dans les pharmacies du territoire.
Consultez la rubrique « Les déchets médicaux » de la page dédiée aux consignes de tri des déchets du site de Cap Atlantique.

La lutte contre les nuisibles

Cap Atlantique s’est dotée d’une compétence statutaire singulière pour une communauté d’agglomération : « lutte contre les espèces dommageables à la communauté ».

En savoir plus sur la page dédiée de Cap Atlantique

Les moustiques

Des actions de démoustication sont assurées sur le territoire de Saint-Molf par l’Établissement public interdépartemental pour la démoustication du littoral atlantique.
Vous pouvez participer à la veille citoyenne en signalant leur présence, notamment celle du moustique tigre. Une application gratuite pour smartphone vous permet d’identifier les différentes espèces de moustiques et de connaître les gestes de prévention pour en limiter la prolifération.
 Plus d’informations en consultant la page dédiée à la découverte de l’application.

Les chenilles urticantes

Chaque année, l’organisme Polleniz propose d’organiser, sur le territoire de la commune, une campagne de lutte collective contre les chenilles processionnaires du pin ou du chêne.
Lorsqu’une campagne est en cours, les informations sont publiées dans la rubrique « Actualités » du site de la mairie.
Les inscriptions s’effectuent uniquement par le biais du site de Polleniz.


Si vous avez observé des chenilles urticantes à votre domicile, vous pouvez cependant toujours contacter la mairie au 02 40 62 50 77.
La lutte contre les chenilles urticantes est à la charge exclusive du demandeur (pas de participation financière, notamment de la mairie ou de Cap Atlantique).
Deux types de lutte collective :
 par traitement biologique (bacille de Thuringe) ;
 par écopièges (fournis par Polleniz, ils peuvent également être installés chez vous par leurs soins).
Plus d’informations en consultant le dépliant dédié aux chenilles urticantes sur le site de Polleniz.

Le frelon asiatique

Si vous avez observé un nid, prenez contact auprès de la mairie de Saint-Molf (accueil@saintmolf.fr – 02 40 62 50 77), communiquez la localisation précise du nid (adresse) et vos coordonnées.
Un référent communal viendra authentifier le nid et recueillir les informations nécessaires (hauteur, support, accessibilité…) à son enlèvement.
Le tarif demandé aux propriétaires est de 55 €/nid détruit (quel que soit le coût de l’enlèvement pouvant aller de 70 € jusqu’à 1000 € en fonction de la situation et de la hauteur du nid. Cap Atlantique prend à sa charge le solde).
Attention, la prise en charge partielle est assurée seulement du printemps au 1er décembre (sauf nid très actif et dans secteur sensible).
Toute intervention réalisée en dehors de cette procédure ne pourra faire l’objet d’une participation financière de Cap Atlantique et restera donc à votre charge.

Le frelon asiatique est reconnaissable par sa dominance noire avec une large bande jaune-orangé sur le 4e segment de l’abdomen.

La jussie

La lutte est également menée par le Parc naturel régional de Brière. Consulter le site du Parc.

L’imperméabilisation des sols

Depuis 1992, les zones urbaines ont plus que doublé, et chaque année, 12 millions d’hectares de sols sont perdus dans le monde : appauvris, stérilisés, pollués, recouverts de goudron et/ou de constructions…

De quoi parle-t-on ?

Un sol imperméabilisé ne peut plus remplir ses fonctions naturelles : l’eau ne peut ni s’infiltrer, ni s’évaporer, le ruissellement (et surtout la vitesse de ruissellement) s’accentue, avec pour conséquence inondations, lessivages de terre, coulées de boue… 

Sol artificialisé ou imperméabilisé ?

Un sol est imperméabilisé lorsqu’il est recouvert d’un matériau imperméable à l’eau et l’air, tels que l’enrobé, l’asphalte ou le béton (routes, voies ferrées, parkings, constructions…) de manière irréversible. Un sol artificialisé (pelouse, gravillons, chantiers, chemin…) perd tout ou partie de ses fonctions écologiques mais pas de manière irréversible.

Le saviez-vous ?

Chaque année, en Europe, des sols représentant une superficie plus vaste que la ville de Berlin sont perdus en raison de l’expansion urbaine et de la construction d’infrastructures de transport. En France, l’État prépare de nouvelles mesures et normes en vue du Zéro Artificialisation Nette (ZAN) qui vise à ne plus utiliser de sol naturel ou agricole en vue d’urbanisation et de minéralisation.

Comment éviter le ruissellement de l’eau ?

Il est possible de mettre en place une citerne de récupération des eaux de pluie avec un rejet du trop-plein vers le réseau public. L’eau peut servir, avec la mise en place d’un réseau indépendant, pour les toilettes, le nettoyage des véhicules et l’entretien des espaces verts.
On peut aussi aménager des bandes vertes, plantées ou non en limite séparative ou entre les bandes de stationnement. Ces bandes peuvent être profilées comme des noues, d’une profondeur de 30cm sur une largeur minimale d’un mètre. Leur rôle est de ralentir l’écoulement des eaux de surface. L’exutoire doit être raccordé au réseau public. Des plantations de types saules nains, cornouillers ou encore des graminées*, dont l’entretien se résume à une coupe annuelle, peuvent y être installées. Pour améliorer leur capacité d’infiltration, ces bandes peuvent être composées de 60% de grave 20/40.
Autre idée : réaliser un jardin de pluie. À ne pas confondre avec l’étang, le jardin d’eau ou la mare, le jardin de pluie est normalement sec, retenant l’eau brièvement après une précipitation. Aménagé sur une petite zone, il est conçu de manière à capter l’eau de pluie surabondante qui s’écoule du toit d’une maison, d’une allée, d’un patio et autres surfaces imperméables. En plus de jouer le rôle d’entonnoir, il retient l’eau temporairement, le temps qu’elle s’infiltre dans le sol, de manière à la détourner des réseaux pour éviter les accumulations.

Comment lutter contre l’imperméabilisation ?
Peu fréquente mais très efficace, même sur les toitures en pente (max 30%), les bandes pré-végétalisées ont une excellente capacité de rétention hydraulique. Les toitures vertes rejettent nettement moins d’eau que les toitures traditionnelles lors d’averses intenses et la qualité des eaux rejetées est également meilleure. Ce sont également de nouveaux espaces de biodiversité.
En dehors du bâtiment, les espaces circulés ou les espaces de stationnement peuvent également être hiérarchisés et traités différemment. Pour les allées d’accès, on peut envisager une allée gravillonnée, avec ou sans bande centrale engazonnée, des revêtements de type stabilisé renforcé ou macadam à l’ancienne (aspect béton) ou encore des revêtements granulats/résine (aspect enrobé). Pour les places d’usage fréquent, on peut également mettre en œuvre des dalles alvéolées gravillonnées, des pavés béton à joints creux gravillonnés, une bande centrale engazonnée ou empierrée avec du 20/40 (mélange terre(30%)/pierre et gazon). Pour les places occasionnelles, un simple mélange pierre/gazon convient parfaitement.

*Salix purpurea nana, H 1.00m maximum, L 1.50m, Cornus sanguinea H. 1.50 x1.50m, Carex, Phalaris, Pennisetum, Molina…

Les sols assurent un très large éventail de fonctions écosystémiques essentielles. L’imperméabilisation des sols augmente le risque d’inondation et de pénurie d’eau, contribue au réchauffement de la planète, menace la diversité biologique…
Commission européenne, Luxembourg : Office des publications de l’Union européenne, 2012

Les haies, réserves de biodiversité à protéger

Haie des champs
Le bocage est un paysage agricole façonné par les agriculteurs. Les haies bocagères ou champêtres sont des outils clés de la gestion de la biodiversité ordinaire. Elles permettent :
• de lutter contre l’érosion des sols (rôle de brise-vent, frein du lessivage des particules fines),
• d’apporter de la fertilité (humus des feuilles mortes),
• d’améliorer l’infiltration et la qualité de l’eau,
• d’abriter les auxiliaires de cultures (pollinisateurs, prédateurs de ravageurs…),
• de servir d’habitat à de nombreux insectivores (crapaud, lézard, merle, coccinelle, mésange…),
• de stocker du carbone et de s’adapter au changement climatique.

Son bois broyé peut servir de litière, ses rameaux devenir source de nourriture et de fourrage lors des périodes sèches : mûrier blanc, frêne, tilleul, aulne, saule sont des arbres fourragers et médicinaux pour le bétail.
Son efficacité est maximale quand sa largeur est de 1,5m minimum, avec plusieurs hauteurs de végétaux : arbres, arbustes et bandes enherbées de part et d’autre. Des arbres taillés en têtards (qui deviennent des arbres creux) et les arbres morts accroissent considérablement leur intérêt écologique.

La gestion de ces haies, c’est-à-dire leur entretien régulier, est facteur de production de biomasse, de stockage de carbone et de longévité.
Toutefois, par la réglementation européenne, interdiction est faite aux agriculteurs de tailler les haies bocagères entre le 1er avril et le 31 juillet parce que c’est la période de nidification des oiseaux.

France Relance, dans son programme « Plantons des haies », a prévu 50 millions d’euros pour la réalisation de 7000 km de haies entre 2021 et 2022. La DRAF (Direction régionale de l’agriculture et de la forêt) gère ce dossier.

Haie des jardins
Si les haies ont autant d’intérêt dans les parcelles agricoles pourquoi n’en auraient-elles pas aussi dans nos jardins ?
Que nous soyons particulier, entreprise, association ou collectivité, si nous voulons agir pour notre environnement, plantons des haies !
Elles peuvent être variées, à différents niveaux de végétation, mellifères et décoratives, fleuries et fruitières avec 1/3 de feuillage persistant qui crée un équilibre intéressant visuellement ; le choix actuel des végétaux est immense.

Règles de plantation :
Si la végétation adulte est < à 2m, je plante à 0,50m de la limite de propriété,
Si la végétation adulte est > à 2m, je plante à 2 m de la limite de propriété. D’où l’intérêt de connaître la vigueur des plants que l’on installe ! Avec un généreux paillage au pied (8 cm environ) pour faciliter la reprise et diminuer les besoins d’arrosage bien sûr !

Et pour l’entretien ?
Pas de réglementation européenne concernant les particuliers, juste une responsabilité de citoyen.
Je dois m’assurer que ma haie ne dépasse pas sur la rue, voie piétonne ou domaine public, que la visibilité est dégagée si j’habite à un carrefour. Je suis responsable de son entretien que je sois propriétaire ou locataire.

Et comment préserver la biodiversité ?
Une taille qui respecte l’arbuste, respecte la vie qu’il abrite.
J’observe avant d’agir (allée et venue d’oiseaux par exemple), je prends le temps de tailler (pour les laisser fuir) et je laisse un périmètre si j’ai repéré un nid.

Mais le mieux est de respecter la même règle que les agriculteurs :
TAILLER À PARTIR D’AOÛT JUSQUE MI-MARS MAXIMUM ce qui laisse quand même huit mois pour réaliser l’intervention… Et la période d’hiver est la meilleure pour tailler les arbres et arbustes. Je respecte ainsi la période de nidification et de reproduction des animaux des jardins calée entre le 15 mars et le 31 juillet pour leur grande majorité.

SI je fais intervenir une entreprise, je lui commande le travail pendant cette période automne-hiver…

Conclusion :
Dans notre campagne, les haies bocagères, délaissées un temps, redeviennent un patrimoine, investies de nouvelles fonctions écologiques importantes pour notre avenir.
Dans nos jardins particuliers, nos terrains d’entreprise, nos espaces verts collectifs, nous pouvons agir pour l’environnement, à notre échelle, pour aujourd’hui et pour l’avenir.
Les haies, comme les arbres, auront un rôle central dans notre environnement de demain, apprenons à les entretenir avec respect pour qu’elles durent longtemps.

Ouverture et clôture de la chasse pour la saison 2023/2024

RÉGLEMENTATION DE LA CHASSE SAISON 2023 – 2024
Période d’ouverture en Loire-Atlantique fixée
du 17 septembre 2023 à 9h00 au 29 février 2024 au soir

Règlement à télécharger


Élu référent Environnement & Cadre de Vie : Marc Bréhat, adjoint en charge du Cadre de vie ;
Élus membres de la commission Cadre de Vie : Jean-Paul Brosseau (conseiller subdélégué à l’Environnement), Thérèse De Courville, Dominique Lascault, Didier Aube, Pascale Gay, Stéphanie Barreaud (conseillère subdéléguée à l’environnement et au développement durable), Yves-Marie Yviquel, Denis Lapadu-Hargues
Agent référent en mairie : Mickaël NOURRY, directeur des services techniques

Les autres acteurs du territoire

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